Suite à un fort tremblement de terre en 2011, 75% du centre-ville de Christchurch a du être rasé.
Nous y avons vécu 2 mois et nous avons pu voir sa population se rassembler autour d’une cause, vers un but de reconstruction, de ré-appropriation de sa ville.
Ce désastre a créé une foultitude d’opportunités.
Quake City, c’est donc un mélange de sons : de nostalgie, d’une vélocité de reconstruction, de découverte, d’espoir, de l’underground d’une ville singulière.
D’une ville qui reste bien tendance malgré tout ça.